Rossignol summer camp 2006
Une bonne semaine de ski (freestyle) sur le glacier des 2 alpes avec le rs camp qui finalement est un trés bon snow camp.... On pouvais voir au sein du camp des rideurs comme Candide Thovex ou encore Mathieu Crepel.
Niveau meteo un grand soleil le matin qui faisais ruisseler la neige du glacier enfin bon c'est le ski d'été :)
Bon en gros un trés bon sejour ou l'on progresse rapidement... à l'année prochaine
semaine cham paque 2006
Aprés midi dirt enfin presque....
Session ski fevrier 2006
Sortie du dimanche fevrier : La Barrasse
Enfin une petite sortie de decrassage et de preparation pour les vacances de fevrier...
Départ vers 1H50 de beaumont direction : St Marcel,on roule sur la route jusqu'au niveau des trois palmes ou on tourne et aprés avoir traversé la Barrasse le sentier commence sa monte bien et la pente est réguliere : bon entrainement quand on cherche une balade au portes de la ville,Malgrés le beau temps et la temperature plutôt agréable...
Bien belle descente avec de beaux virages ... on rentre tranquillement par le canal . tout sa en 2 heures
nuit de la glisse
red bull ce qu'il faut savoir c'est trop bon ......article pris sur un site suisse
Je n'aime pas le goût du Red Bull et je me sens très minoritaire: cette boisson énergétique rencontre un succès absolument phénoménal. «On ne vend plus que ça: des Red Bull Vodka», me disait l'autre jour le patron d'un club. Il n'est pas le seul. En 1998, plus de 25 millions de canettes bleues ont été bues en Suisse, pour une population de 7 millions.
La consommation de Red Bull a doublé en deux ans. «C'est un succès historique, s'emballe Michel Loris-Melikoff, responsable de la marque auprès du distributeur Feldschlösschen. Le milieu du night-clubbing est effectivement notre marché le plus important.»
Ce n'est pas le goût (particulièrement mauvais, j'insiste) du Red Bull qui séduit les clubbers mais les vertus de ce mélange savant de substances énergisantes. Le Red Bull n'est pas une boisson isotonique recommandée pour les sportifs comme le Gatorade ou l'Isostar. C'est même le contraire. Le Red Bull ne passe pas la soif. La firme recommande d'ailleurs de mélanger la boisson avec de l'eau si elle est absorbée pendant un effort physique.
Une canette de Red Bull fait à peu près l'effet d'un litre de café avalé d'un trait. «Ça donne la pêche», résume Michel Loris-Melikoff. Le breuvage contient toutes les vitamines de circonstance, des dérivés de sucre (dont le glucoronolactone) et surtout une dose massive de caféine: 300 mg par litre, une teneur 2,5 fois supérieure à celle contenue dans le Coca-Cola.
Le liquide épais et presque huileux, d'un jaune tirant sur le rouge, contient aussi de la «taurine», une substance encore mal connue, dérivée de certains acides aminés et détectée pour la première fois à la fin des années 1950 dans la bile du taureau. C'est de là que vient le nom de la boisson, et non de la présence d'hormones de l'animal comme le veut la rumeur.
«La taurine est un produit naturel, on en trouve chez l'homme mais aussi dans les huîtres ou les œufs, explique Bernard Klein, chimiste cantonal à Lausanne. Dans le Red Bull, la taurine est reconstituée artificiellement. On l'a identifiée comme étant un neuro-transmetteur, soit une substance qui favorise les transmissions entre les neurones dans le cerveau.»
Les effets concrets de la taurine sur l'organisme restent peu clairs. «Aucune étude scientifique n'a été réalisée sur ce produit, explique Jacques Diézi, sommité de pharmacologie à l'Université de Lausanne. En fait, on ne sait pas quelles sont les conséquences de l'absorption massive de taurine sur le système nerveux.» Red Bull joue sur cette incertitude en affirmant que son produit non seulement donne de l'énergie, mais «favorise l'intelligence et la concentration».
L'origine de la composition du Red Bull remonte aux années 1970. Lors de ses nombreux voyages, un jeune entrepreneur autrichien nommé Dietrich Mateschitz s'était aperçu que les hommes d'affaires asiatiques consommaient une sorte de potion énergétique avant les meetings importants afin de rester éveillés et attentifs. De retour en Autriche, il a eu l'idée de créer une boisson inspirée de ce sirop asiatique qui contenait de la taurine et du café. Il commercialise le Red Bull dans son pays en 1987.
La boisson est alors interdite d'importation dans la plupart des pays européens, dont la Suisse. Raison invoquée: les effets incertains de la taurine et le taux trop élevé de caféine. Déclaré illégal, le Red Bull fait l'objet d'un important trafic dans les capitales européennes, surtout dans le milieu techno. Le breuvage donne aux adeptes de dance parties l'énergie nécessaire pour tenir jusqu'au bout de la nuit. Pur ou mélangé à du champagne ou de la vodka, il stimule et compense la fatigue provoquée par l'alcool et l'effort. Au début des années 1990, la canette de 2,5 dl s'achète à Zurich pour plus de 10 francs suisse (40 francs français) dans les bars illégaux ou sous le manteau.
Sous la pression notamment de l'entreprise Denner, qui désire distribuer en exclusivité le Red Bull en Suisse, l'Office fédéral de la santé cède en 1994: il légalise la boisson et double le seuil maximal de caféine toléré dans une boisson, jusque ici atteint par le Coca-Cola.
En 1995, neuf millions de canettes sont vendues en Suisse. Feldschlösschen en assure alors la distribution. Sans campagne de pub énorme, le Red Bull profite du mythe qui l'entoure pour s'imposer comme la boisson des clubbers. «Aujourd'hui, pour notre publicité, nous ciblons le public qui a besoin d'énergie et de concentration: les surfeurs (Red Bull sponsorise par exemple le championnat XTreme de Verbier) ou les médecins et les infirmières qui travaillent la nuit.» Cette année, la firme compte vendre plus de 35 millions de canettes en Suisse.